Fiordalisa
A tous mes amis de la Jeanne d'Arc
Après dix ans de nonchalance (mais, à décharge, de longues recherches documentaires et beaucoup de temps passé
autour du monde sur notre catamaran), j'ai enfin publié mon roman Fiordalisa.
Malgré l'invite d'un éditeur réputé, friand de romans historiques, j'ai été convaincu par mes enfants de jouer
à l'homme moderne et de me lancer dans l'autoédition via Amazon.fr. Je ne sais pas si c'est la bonne décision
en terme de nombre de lecteurs (que j'espère évidemment le plus grand possible – avec l'âge,
on devient très cabotin) mais jouer à l'éditeur est incontestablement très amusant.
Le livre n'est donc pas disponible en librairie mais peut être très facilement commandé sur
le site Amazon.fr en tapant dans la zone de recherche : « fiordalisa »
ou « alain nicolaïdis ».
- Fiordalisa (Le tome 1 –L'Occident) existe en version papier (16,87 € avec livraison gratuite) ou en version électronique (9,89 €).
- Le tome 2- L'Orient paraîtra très prochainement.
Sur le site indiqué vous trouverez une présentation du roman en espérant qu'elle vous donnera l'envie de le lire (et,
si vous l'avez apprécié, de le faire connaître). Vos commentaires - appréciations ou critiques –
seront bienvenus sur ce même site Amazon.fr.
Pour ceux qui ont un compte Facebook, je vous invite à aller
à la page www.facebook.com/fiordalisa.roman pour y déposer vos commentaires:
(«
I like », de préférence !)
PS Je regrette de ne pouvoir distribuer Fiordalisa à tous mes amis mais, à défaut de devenir riche avec ce livre,
je souhaite éviter, étant l'éditeur, de devenir pauvre en vous l'offrant. A mon grand regret.
Présentation par Amazon
Description de l'ouvrage
Date de publication: 3 mai 2014 | Série: Fiordalisa
Ce roman, publié en deux volumes (1 - L'Occident, 2 - L'Orient), retrace l'épopée jusqu'en Chine, pays alors inconnu
des Européens, d'une vive et audacieuse princesse sicilienne. Dans un Moyen Âge où la Renaissance se profile déjà à l'horizon,
Fiordalisa participe à une ambassade destinée à obtenir l'alliance de l'empereur de Chine face à la menace des Mongols.
Elle devient ainsi la première femme d'Occident à découvrir la Chine, à subir le choc de l'immersion soudaine dans
une civilisation d'un raffinement inimaginable pour un Européen de cette époque. La Chine de la dynastie Song est,
en effet, à son apogée au plan scientifique, artistique et philosophique – ce qui ne va pas lui épargner le déferlement
des hordes barbares. Introduite, par les hasards du destin, dans le premier cercle du pouvoir impérial,
Fiordalisa sera un témoin privilégié de ce drame sanglant de l'histoire de l'Empire du Milieu. Fiordalisa va,
au cours de sa vie aventureuse, séduire ou affronter des personnages parmi les plus fascinants de l'histoire,
depuis le fougueux Charles d'Anjou, frère de Saint-Louis, jusqu'à Wen Tianxiang, héros de la résistance chinoise
à l'invasion menée par Khubilaï, petit-fils de Gengis Khan. L'auteur s'appuie sur des faits avérés pour proposer
une approche originale de l'histoire de ce XIIIe siècle qui nous fait méditer sur le nôtre en nous montrant
le caractère éternel de la crédulité des peuples et des turpitudes de la politique.
Biographie de l'auteur
De formation scientifique (École Polytechnique, Supélec, Génie maritime – mais Sciences Po quand même),
Alain Nicolaïdis n'était guère prédestiné à écrire un roman. Mais, après une vie bien remplie de haut fonctionnaire
puis de créateur et de dirigeant d'entreprises, il s'est rappelé que Michel Mohrt, entré par la suite
à l'Académie française, lui avait dit, à l'occasion de la remise d'un « Prix de la nouvelle »
à l'École Polytechnique : « Qu'est-ce-que vous fichez-là ? Vous devriez écrire ». Cinquante ans plus tard,
Alain Nicolaïdis a suivi son conseil avec son roman "Fiordalisa". Ce roman historique, produit
sur le tard, n'est pourtant pas fortuit. Il est né de la conjonction d'une passion pour l'histoire et
la politique, d'un amour de la Chine et de sa civilisation, d'un besoin intense de crier sa haine de
l'intolérance et de fustiger notre européocentrisme prétentieux qui nous enferme trop souvent, au nom
de nos prétendues « valeurs », dans une terrible infirmité : le refus de voir le monde tel qu'il est.
Son goût pour l'histoire universelle et la diversité des cultures, accentué par les expériences d'une
carrière très internationale et d'un périple autour du monde sur son voilier pendant dix ans,
a certainement permis à Alain Nicolaïdis de porter un regard original sur notre passé. Contrairement
à l'opinion répandue et les nombreux adages sur l'inutilité de s'y pencher, l'analyse du passé est
importante car elle offre le seul moyen d'entrevoir l'avenir – et d'essayer, si possible, de le rendre meilleur.